Mésambria 1202 – Campagne de la Loutre (ép. 02)
Suite de la campagne de Vampire Dark Ages : épisode 01.
- Mésambria 1202 – Campagne de la Loutre (ép. 03)
- Messambria 1202 – Campagne de la Loutre (ép. 04)
PJs :
- Hadrien Monomaque (conteur)
- Ivon Oubertou
- Eleanor

Ceci fait, je toquais à la porte pour avoir mon entrevue avec ce fameux Octave et ainsi essayer de savoir ce que venait faire mon sire ici chaque année. Malheureusement, il ne m’appris pas grand-chose, si Christofor était venu ici, il n’avait pas du s’enregistrer à la Curie, mais en regardant le registre sur les années précédentes, un nom m'interpela : Anne de Comène, la personne que mon sire devait voir à Constantinople. J’appris aussi le nom du visiteur que j’avais croisé, un certain Ivon Obertou.
Octave me présenta les divers lieux d’intérêt de Mésambria, le monastère tenu par une goule, un ancien sénateur de Constantinople de bas étage qui est mort il y a 3 mois et en regardant dans les cadastres, je vis un nom qui attira mon attention, un domaine appartenait à un certain Valens. Tiens donc. En ce qui concerne le Sénateur, Octave me dit que la mort était inexpliquée et que seul l’âge pouvait l’expliquer, sa veuve était encore sur place. Par contre, Octave confirma qu’il n’y avait pas de Vampires habitant la ville.
Je décidais d’aller voir le domaine, si jamais quelqu’un était présent là bas. Malheureusement, pas de trace d’âme qui vive (en même temps à deux heures du matin…). Je décidais donc de me diriger vers le monastère afin de voir s’ils pouvaient m’accueillir pour y dormir. En m’y rendant, je fus presque fauché par une carriole qui en partait, celle du Sieur Obertou. Il s’ensuivi une discussion qui aurait pu mal tourner. Je le questionnais sur son domaine et m’interrogeais sur le pourquoi qu’il semblait s’être fait rejeter du monastère alors que celui-ci appartient à sa famille, remarque qui apparemment fut blessante. Son écuyer m’invectiva et Ivon Obertou tira même son épée de façon quelque peu menaçante.
Me drapant dans ma dignité, je partis tel un prince lançant une phrase énigmatique. Je voulais essayer moi-même d’entrer dans ce fameux monastère. Mais je pus me rendre compte par moi-même, que des moines dérangés à 3 heures du matin sont réellement grincheux et peu accueillants. Je dus me résoudre à demander à Octave l’asile pour la journée. Sur la route qui me ramenait en ville, je donnais mes ordres à Ismaël. Il fallait qu’il se renseigne au mieux sur le domaine de Valens et qu’il m’organise une entrevue auprès de la veuve du Sénateur.
A mon réveil, Ismaël avait bien rempli son office, il m’avait obtenu une entrevue auprès du Sénéchal du Sénateur pour que je puisse voir la veuve pour lui présenter mes hommages. Je lui avais conseillé de me faire passer pour un vieil ami du défunt, et apparemment ça avait marché. Il avait aussi appris que deux hommes avaient habités au domaine de Valens, mais qu’apparemment ils avaient quitté les lieux depuis un certain temps. D’ailleurs, les gens du village ne semblaient pas tous au courant. Heureusement, il restait leur bonne à tout faire qui était muette, mais en vie.
L’heure du rendez vous était prise au plus tôt, je commençais donc par cette piste. Arrivé à la demeure du sénateur, je me heurtais au sénéchal qui finalement semblait ne pas vouloir me faire voir la femme du défunt. Je dus user de mon noble héritage pour pouvoir entre et présenter mes hommages à la veuve. Avec force patiente, il m’installa dans un boudoir avec un verre de vin.
Me drapant dans ma dignité, je partis tel un prince lançant une phrase énigmatique. Je voulais essayer moi-même d’entrer dans ce fameux monastère. Mais je pus me rendre compte par moi-même, que des moines dérangés à 3 heures du matin sont réellement grincheux et peu accueillants. Je dus me résoudre à demander à Octave l’asile pour la journée. Sur la route qui me ramenait en ville, je donnais mes ordres à Ismaël. Il fallait qu’il se renseigne au mieux sur le domaine de Valens et qu’il m’organise une entrevue auprès de la veuve du Sénateur.
A mon réveil, Ismaël avait bien rempli son office, il m’avait obtenu une entrevue auprès du Sénéchal du Sénateur pour que je puisse voir la veuve pour lui présenter mes hommages. Je lui avais conseillé de me faire passer pour un vieil ami du défunt, et apparemment ça avait marché. Il avait aussi appris que deux hommes avaient habités au domaine de Valens, mais qu’apparemment ils avaient quitté les lieux depuis un certain temps. D’ailleurs, les gens du village ne semblaient pas tous au courant. Heureusement, il restait leur bonne à tout faire qui était muette, mais en vie.
L’heure du rendez vous était prise au plus tôt, je commençais donc par cette piste. Arrivé à la demeure du sénateur, je me heurtais au sénéchal qui finalement semblait ne pas vouloir me faire voir la femme du défunt. Je dus user de mon noble héritage pour pouvoir entre et présenter mes hommages à la veuve. Avec force patiente, il m’installa dans un boudoir avec un verre de vin.

Je lui proposais de m’accompagner en buvant quelque chose, mais elle refusait, rétorquant qu’elle était souffrante. Elle me renvoyait la question vu que je n’avais pas touché à mon vin. Je dus répondre que j’avais le même « mal » qu’elle, elle devait donc comprendre pourquoi je n’y touchais pas. Mais elle s’obstina et fis comme si elle ne comprenait pas. J’enchainais en demandant si elle connaissait quelqu’un qui « souffrait » comme elle dans le village. Elle me répondit par la négative. Allons, il y a bien quelqu’un qui vous a rendu « malade », puis je savoir qui il est, lui demandais-je.
Devant tant de refus, je forçais un peu la voix et lui dit : « Allons Madame, nous savons tout les deux que vous êtes un vampire, alors épargnez moi votre cinéma. Je cherche juste à savoir qui mon Sire devait voir ici, j’ai donc besoin de savoir quel autre Vampire habite ici, par exemple votre sire. » Devant une telle attaque, je la senti prête à se jeter sur moi à moitié affamer. Voilà donc pourquoi nous avions été interrompus par un serviteur qui lui confirmait que ses « médicaments » étaient prêts.
Elle me lâcha quand même que son sire habitait le monastère. Et sur ce, elle pris congés et je fus reconduit fermement à la porte par le sénéchal.